Avec cette monumentale Parade de foire, datée de 1919, Lucien Simon décrit avec verve l’animation cocasse des pardons bretons où se mêlent le profane et le sacré. La maîtrise du peintre dans l’art de composer est à son apogée et mélange habilement les groupes traités en frise et les...
🔎 On ne passerait jamais une Nuit des musées sans notre fidèle compère du Musée Départemental Breton avec qui on s'associe chaque année pour vous faire enquêter !
L’étude du dos constitue la pièce de choix de ce dessin, avec de surcroit une mise en lumière et un travail d’estompe qui orientent le regard vers cette partie du corps. La pose du modèle, qui simule le repos ou la mort, a pour objectif de montrer le relâchement des muscles dorsaux, de la nuque et de la tête. Les jambes repliées - avec une saisissant raccourci -, et les pieds, considérés comme sujets secondaires, ne sont en conséquence qu’à peine esquissés.
✏Anonyme
"Académie d'homme allongé de dos" (Fin XVIIIe – début XIXe siècle)