VUE DE TIVOLI
Huile sur toile
873-1-525
Legs de Silguy, 1864
H. 18 cm - L. 26,5 cm
Jean Thomas Thibault, lauréat du concours de l’Académie d’architecture en 1778, se rend à Rome, à ses propres frais, de 1788 à 1792 et y rencontre les architectes néoclassiques Percier et Fontaine. Tout comme ses amis, il est l’un des rares architectes-artistes à produire des dessins et peintures, indépendamment de tout travail architectural. Il semble que ce soit durant la période révolutionnaire, alors qu’il est sans ressources, que Thibault exécute la majorité de ses paysages, essentiellement des vues de Paris et d’Italie. Dans le petit tableau quimpérois, l’influence de Michallon et de Valenciennes se ressent : Thibaut distille la lumière dans un paysage parfaitement composé, héritage sans doute de son talent d’architecte et de professeur de perspective.
VUE DE TIVOLI
Huile sur toile
873-1-525
Legs de Silguy, 1864
H. 18 cm - L. 26,5 cm
Jean Thomas Thibault, lauréat du concours de l’Académie d’architecture en 1778, se rend à Rome, à ses propres frais, de 1788 à 1792 et y rencontre les architectes néoclassiques Percier et Fontaine. Tout comme ses amis, il est l’un des rares architectes-artistes à produire des dessins et peintures, indépendamment de tout travail architectural. Il semble que ce soit durant la période révolutionnaire, alors qu’il est sans ressources, que Thibault exécute la majorité de ses paysages, essentiellement des vues de Paris et d’Italie. Dans le petit tableau quimpérois, l’influence de Michallon et de Valenciennes se ressent : Thibaut distille la lumière dans un paysage parfaitement composé, héritage sans doute de son talent d’architecte et de professeur de perspective.