École italienne et espagnole

Le Mariage de la Vierge

Anonyme italien (?), flamand (?)

XVIIe siècle

Agrandir l'image jpg 228Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Anonyme XVIIe, Le Mariage de la Vierge, huile sur toile, 174,5 x 230 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

893-1-19

Legs Colomb, 1893

H. 174,5 cm - L. 230 cm

Ce tableau apparaît comme une magnifique redécouverte, en attendant de bénéficier d’une attribution  ferme. La composition, vigoureuse, développe avec une parfaite maîtrise la narration de cet épisode fameux du cycle de la vie de la Vierge, inspirée notamment de la Légende dorée. Donnée dans un premier temps à l’École espagnole, autour de Juan de Valdés Leal, ce grand tableau a ensuite été rangé chez les Flamands. Sa restauration récente a permis d’écarter ces deux premières hypothèses au profit de l’École italienne du XVIIe siècle. Le conservateur Pierre Curie propose d’y reconnaître une œuvre issue du foyer pictural génois, avec une attribution possible à Orazio de Ferrari. Toutefois, Piero Boccardo penche plutôt pour une œuvre napolitaine. Quoiqu’il en soit, cette grande toile, aux couleurs bien conservées, suggère par certains types physiques, une influence des Écoles du Nord, qui justifie de maintenir l’attribution à l’école de peinture génoise.    

École italienne et espagnole

Le Mariage de la Vierge

Anonyme italien (?), flamand (?)

XVIIe siècle

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Anonyme XVIIe, Le Mariage de la Vierge, huile sur toile, 174,5 x 230 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

893-1-19

Legs Colomb, 1893

H. 174,5 cm - L. 230 cm

Ce tableau apparaît comme une magnifique redécouverte, en attendant de bénéficier d’une attribution  ferme. La composition, vigoureuse, développe avec une parfaite maîtrise la narration de cet épisode fameux du cycle de la vie de la Vierge, inspirée notamment de la Légende dorée. Donnée dans un premier temps à l’École espagnole, autour de Juan de Valdés Leal, ce grand tableau a ensuite été rangé chez les Flamands. Sa restauration récente a permis d’écarter ces deux premières hypothèses au profit de l’École italienne du XVIIe siècle. Le conservateur Pierre Curie propose d’y reconnaître une œuvre issue du foyer pictural génois, avec une attribution possible à Orazio de Ferrari. Toutefois, Piero Boccardo penche plutôt pour une œuvre napolitaine. Quoiqu’il en soit, cette grande toile, aux couleurs bien conservées, suggère par certains types physiques, une influence des Écoles du Nord, qui justifie de maintenir l’attribution à l’école de peinture génoise.    

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