Arts graphiques

NEUF SCENES DE LA VIE DE TOBIE

Francesco ALLEGRINI (attribué à) (1587-1663)

XVIIe (1ère moitié)

Agrandir l'image jpg 75Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Francesco Allegrini "Neuf Scènes de la vie de Tobie", plume et encre brune sur papier

Dessin à la plume et encre brune sur papier

873-2-74

Legs de Silguy, 1864

H. 25,3 cm - L. 28,5 cm

Francesco Allegrini  pourrait être l’auteur de ce dessin qui illustre neuf scènes de la vie de Tobie se déroulant en frise comme une sorte de bande dessinée avant l’heure. Il présente par ailleurs au recto, en bas à gauche, la marque prestigieuse de la collection du baron Vivant-Denon.

Allegrini, encore attaché aux expressions tardives du maniérisme romain, semble se souvenir, dans les petites figures ici mises en scène, de l’élégance un peu grêle des créations du cavalier d’Arpin, dont son propre père aurait été l’élève.

Son œuvre graphique a été pour la première fois reconstitué par Herman Voss en 1924. Son corpus s’élèverait à quelque 600 études, réparties dans les collections du monde entier (Leipzig, National Gallery of Scotland, Metropolitan Museum of Art de New York, musée du Louvre…). La feuille quimpéroise, proche par sa facture, pourrait être rattachée à ces ensembles.

Arts graphiques

NEUF SCENES DE LA VIE DE TOBIE

Francesco ALLEGRINI (attribué à) (1587-1663)

XVIIe (1ère moitié)

Agrandir l'image jpg 75Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Francesco Allegrini "Neuf Scènes de la vie de Tobie", plume et encre brune sur papier

Dessin à la plume et encre brune sur papier

873-2-74

Legs de Silguy, 1864

H. 25,3 cm - L. 28,5 cm

Francesco Allegrini  pourrait être l’auteur de ce dessin qui illustre neuf scènes de la vie de Tobie se déroulant en frise comme une sorte de bande dessinée avant l’heure. Il présente par ailleurs au recto, en bas à gauche, la marque prestigieuse de la collection du baron Vivant-Denon.

Allegrini, encore attaché aux expressions tardives du maniérisme romain, semble se souvenir, dans les petites figures ici mises en scène, de l’élégance un peu grêle des créations du cavalier d’Arpin, dont son propre père aurait été l’élève.

Son œuvre graphique a été pour la première fois reconstitué par Herman Voss en 1924. Son corpus s’élèverait à quelque 600 études, réparties dans les collections du monde entier (Leipzig, National Gallery of Scotland, Metropolitan Museum of Art de New York, musée du Louvre…). La feuille quimpéroise, proche par sa facture, pourrait être rattachée à ces ensembles.

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