LE CROISIC, BATEAUX À SEC
1910
Aquarelle et crayon sur papier
2014-6-6
Don de la famille de l’artiste en 2014
Aquarelle et crayon sur papier
Artiste prolifique de la première moitié du XXe siècle, Henri Marret a joué un rôle central dans le renouveau de l’art de la fresque pendant l’Entre-Deux-Guerres. Proche de Maurice Denis et des ateliers d’art sacré, son activité créatrice s’est déployée dans de nombreux bâtiments civils ou religieux (Aérium d’Arès, Ecole des Arts et Métiers de Paris, cathédrale d’Arras…) et reflète l’importance des chantiers que l’État notamment avait souhaité lui confier.
Parallèlement à cette carrière officielle, Henri Marret, attiré par les voyages et la découverte d’horizons marins variés, a réalisé de nombreuses études sur le motif. Dans ces aquarelles et dessins d’une grande fraîcheur, l’artiste crée, par la liberté du geste et de la vision, des œuvres d’une infinie séduction.
Familier des côtes bretonnes, Henri Marret fréquente notre région dès 1900 et y revient régulièrement jusqu’en 1937 ; il y multiplie les travaux gravés, dessinés ou peints, fixant ainsi la beauté des paysages rencontrés.
LE CROISIC, BATEAUX À SEC
1910
Aquarelle et crayon sur papier
2014-6-6
Don de la famille de l’artiste en 2014
Aquarelle et crayon sur papier
Artiste prolifique de la première moitié du XXe siècle, Henri Marret a joué un rôle central dans le renouveau de l’art de la fresque pendant l’Entre-Deux-Guerres. Proche de Maurice Denis et des ateliers d’art sacré, son activité créatrice s’est déployée dans de nombreux bâtiments civils ou religieux (Aérium d’Arès, Ecole des Arts et Métiers de Paris, cathédrale d’Arras…) et reflète l’importance des chantiers que l’État notamment avait souhaité lui confier.
Parallèlement à cette carrière officielle, Henri Marret, attiré par les voyages et la découverte d’horizons marins variés, a réalisé de nombreuses études sur le motif. Dans ces aquarelles et dessins d’une grande fraîcheur, l’artiste crée, par la liberté du geste et de la vision, des œuvres d’une infinie séduction.
Familier des côtes bretonnes, Henri Marret fréquente notre région dès 1900 et y revient régulièrement jusqu’en 1937 ; il y multiplie les travaux gravés, dessinés ou peints, fixant ainsi la beauté des paysages rencontrés.