Arts graphiques

FEMME UNE MAIN SUR LA BOUCHE

Paul leroy (1860-1942)

1904

Agrandir l'image jpg 276Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Paul Leroy "Femme une bouche sur la main", 1904, dessin au fusain sur papier

Dessin au fusain sur papier

79-15-5

Don de la famille de l’artiste en 1979

H. 32,7 cm - L. 24,5 cm

Même si le musée des beaux-arts de Quimper ne conserve pas d’œuvres majeures de la période orientaliste de Paul Leroy, il paraissait difficile de ne pas évoquer la figure de ce peintre qui découvre l’Egypte de 1885 à 1887 puis l’Algérie en compagnie de Charles Landelle. Maîtrisant l’arabe, collectionnant les faïences islamiques, Leroy participe à la création en 1893 de la Société des peintres orientalistes français et en dessine l’emblème, une main de Fatma sur une étoile de Salomon. Paul Leroy est un habitué de Biskra, il y passe ses hivers en 1887, 1889, 1891 et 1892, et fait partie de cette colonie d’artistes s’installant dans le désert munis  de tout un attirail pour se protéger du soleil ardent.

Paul Leroy (…) avait souffert sans se plaindre de ciels gris, du siroco, des tempêtes de sable, d’une température oscillant entre 35 et 40° à l’ombre, de la difficulté de faire poser les indigènes, des nuages de mouches obstinément posés sur sa toile.

Arts graphiques

FEMME UNE MAIN SUR LA BOUCHE

Paul leroy (1860-1942)

1904

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Paul Leroy "Femme une bouche sur la main", 1904, dessin au fusain sur papier

Dessin au fusain sur papier

79-15-5

Don de la famille de l’artiste en 1979

H. 32,7 cm - L. 24,5 cm

Même si le musée des beaux-arts de Quimper ne conserve pas d’œuvres majeures de la période orientaliste de Paul Leroy, il paraissait difficile de ne pas évoquer la figure de ce peintre qui découvre l’Egypte de 1885 à 1887 puis l’Algérie en compagnie de Charles Landelle. Maîtrisant l’arabe, collectionnant les faïences islamiques, Leroy participe à la création en 1893 de la Société des peintres orientalistes français et en dessine l’emblème, une main de Fatma sur une étoile de Salomon. Paul Leroy est un habitué de Biskra, il y passe ses hivers en 1887, 1889, 1891 et 1892, et fait partie de cette colonie d’artistes s’installant dans le désert munis  de tout un attirail pour se protéger du soleil ardent.

Paul Leroy (…) avait souffert sans se plaindre de ciels gris, du siroco, des tempêtes de sable, d’une température oscillant entre 35 et 40° à l’ombre, de la difficulté de faire poser les indigènes, des nuages de mouches obstinément posés sur sa toile.

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