L'ENTRÉE DU CHRIST À JERUSALEM
Fin XVIIe siècle
Huile sur toile
873-1-752
Legs de Silguy, 1864
H. 91 cm - L. 149,5 cm
Le musée conserve peu d’informations sur les deux œuvres de Verdier issues du legs de Silguy, L'Entrée du Christ à Jérusalem et La Lapidation de Saint Pierre. Le collectionneur à l’origine de la fondation du musée détenait peu d’œuvres du XVIIe siècle français qui, au moment de la constitution de sa collection, étaient devenues financièrement inabordables. On reconnaît toutefois le goût de Jean-Marie de Silguy dans le caractère inachevé et esquissé de ces tableaux.
Il semblait donc opportun de les restaurer. En 2014, ils ont subi un traitement fondamental au niveau de la couche picturale (décrassage, suppression des anciennes couches de vernis, des anciens repeints et mastics, masticage, réintégration des lacunes, atténuation des usures, réintégration des lacunes, atténuation des usures, vernissage) ainsi que sur le support (reprise du rentoilage).
Ils complètent aujourd’hui l’ensemble constitué par les œuvres de Nicolas Loir, Thomas Blanchet, Jean Tassel ou encore Pierre-Antoine Patel. S’agit-il d’esquisses pour une grande composition ou pour une tapisserie ? La question reste pour l’instant en suspens.
L'ENTRÉE DU CHRIST À JERUSALEM
Fin XVIIe siècle
Huile sur toile
873-1-752
Legs de Silguy, 1864
H. 91 cm - L. 149,5 cm
Le musée conserve peu d’informations sur les deux œuvres de Verdier issues du legs de Silguy, L'Entrée du Christ à Jérusalem et La Lapidation de Saint Pierre. Le collectionneur à l’origine de la fondation du musée détenait peu d’œuvres du XVIIe siècle français qui, au moment de la constitution de sa collection, étaient devenues financièrement inabordables. On reconnaît toutefois le goût de Jean-Marie de Silguy dans le caractère inachevé et esquissé de ces tableaux.
Il semblait donc opportun de les restaurer. En 2014, ils ont subi un traitement fondamental au niveau de la couche picturale (décrassage, suppression des anciennes couches de vernis, des anciens repeints et mastics, masticage, réintégration des lacunes, atténuation des usures, réintégration des lacunes, atténuation des usures, vernissage) ainsi que sur le support (reprise du rentoilage).
Ils complètent aujourd’hui l’ensemble constitué par les œuvres de Nicolas Loir, Thomas Blanchet, Jean Tassel ou encore Pierre-Antoine Patel. S’agit-il d’esquisses pour une grande composition ou pour une tapisserie ? La question reste pour l’instant en suspens.