Vue du portique du Panthéon
2ème moitié du XVIIIe siècle
Huile sur toile
873-1-393
Legs de Silguy, 1864
H. 62,6 cm - L. 48,7 cm
Cette œuvre issue du legs Silguy en 1864 est une redécouverte récente. En réserves depuis plusieurs années, jamais prêté voire exposé ( ?), ce tableau a attiré l'attention de Guillaume Faroult, conservateur au Louvre. Il confirme l’attribution à Hubert Robert, même si un nettoyage trop important et des repeints ont quelque peu altéré le ciel. L’historienne de l’art, Sarah Catala, a, par rapprochement avec une sanguine de 1762, identifié l’iconographie de ce tableau, intitulé jusqu’alors par un simple Vue de monuments.
Il semblait donc opportun de restaurer cette œuvre pour en permettre une étude plus approfondie. Elle vient s'ajouter au corpus d'œuvres de Robert conservées au musée des beaux-arts de Quimper (Fête de nuit et quelques dessins) qui témoignent du goût du donateur Jean-Marie de Silguy pour cet artiste et son entourage.
Vue du portique du Panthéon
2ème moitié du XVIIIe siècle
Huile sur toile
873-1-393
Legs de Silguy, 1864
H. 62,6 cm - L. 48,7 cm
Cette œuvre issue du legs Silguy en 1864 est une redécouverte récente. En réserves depuis plusieurs années, jamais prêté voire exposé ( ?), ce tableau a attiré l'attention de Guillaume Faroult, conservateur au Louvre. Il confirme l’attribution à Hubert Robert, même si un nettoyage trop important et des repeints ont quelque peu altéré le ciel. L’historienne de l’art, Sarah Catala, a, par rapprochement avec une sanguine de 1762, identifié l’iconographie de ce tableau, intitulé jusqu’alors par un simple Vue de monuments.
Il semblait donc opportun de restaurer cette œuvre pour en permettre une étude plus approfondie. Elle vient s'ajouter au corpus d'œuvres de Robert conservées au musée des beaux-arts de Quimper (Fête de nuit et quelques dessins) qui témoignent du goût du donateur Jean-Marie de Silguy pour cet artiste et son entourage.
Clin d'oeil : l'oeuvre incarnée
Lors de l'événement participatif "Le musée recopié" de l'Ecole Parallèle Imaginaire, en mai 2018, les copistes ont dessiné l'oeuvre de leur choix puis avec d'autres copistes ou visiteurs ont incarné celle-ci de manière créative.