Ecoles flamande et hollandaise

FRUITS DU SURINAM ET REPTILES

Dirk Valkenburg (1675-1721)

1706-1708

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Dirk Valkenburg (1675-1721) "Fruits du Surinam et reptiles", 1706-1708- Huile sur toile, 40,5 x 48,5 cm - musée des beaux-arts de Quimper © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-185

Legs de Silguy, 1864

H. 40,5 cm - L. 48,5 cm

Ce peintre hollandais demeure surtout connu par le séjour qu’il effectua au Surinam entre 1706 et 1708. Procédant d’une technique hyperréaliste, Valkenburg décrit avec minutie plusieurs fruits qui prospèrent sous le climat de l’Amérique tropicale. Sur l’une des toiles, on reconnaît sans difficulté plusieurs fruits de l’anacardier, ces extraordinaires pommes cajou desquelles on extrait la noix de cajou. Non loin et séparés par un serpent ondulant, sont disposées plusieurs grenadilles. L’autre composition dispose avec un même souci de curiosité plusieurs fruits tropicaux, bien peu connus en Europe en ce début du XVIIIe siècle, dont à nouveau une variété de passiflore, sans doute des goyaves bien charnues au centre et, au premier plan vers la droite, un possible tamarillo.

Ecoles flamande et hollandaise

FRUITS DU SURINAM ET REPTILES

Dirk Valkenburg (1675-1721)

1706-1708

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Dirk Valkenburg (1675-1721) "Fruits du Surinam et reptiles", 1706-1708- Huile sur toile, 40,5 x 48,5 cm - musée des beaux-arts de Quimper © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-185

Legs de Silguy, 1864

H. 40,5 cm - L. 48,5 cm

Ce peintre hollandais demeure surtout connu par le séjour qu’il effectua au Surinam entre 1706 et 1708. Procédant d’une technique hyperréaliste, Valkenburg décrit avec minutie plusieurs fruits qui prospèrent sous le climat de l’Amérique tropicale. Sur l’une des toiles, on reconnaît sans difficulté plusieurs fruits de l’anacardier, ces extraordinaires pommes cajou desquelles on extrait la noix de cajou. Non loin et séparés par un serpent ondulant, sont disposées plusieurs grenadilles. L’autre composition dispose avec un même souci de curiosité plusieurs fruits tropicaux, bien peu connus en Europe en ce début du XVIIIe siècle, dont à nouveau une variété de passiflore, sans doute des goyaves bien charnues au centre et, au premier plan vers la droite, un possible tamarillo.

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